mardi 31 décembre 2013


 2013 touche à sa fin et avec elle une année plutôt satisfaisante.

Une fois de plus j'ai réussi à suivre mon "régime" bonheur en faisant en sorte de profiter de chaque instant, de ne me concentrer que sur le meilleur. Surtout ça. Mais bien entendu j'ai eu des bas, comme tout le monde (déçu de certains comportements, des mauvaises nouvelles...) , mais au fond cette année aura été une des meilleures.

Parmi les meilleurs moments de 2013 :

* Ma rencontre avec Denzel Washington, grâce à Nicolas (ICI)
* De nouvelles et belles rencontres avec la blogosphère cinéma
* Ceux qui sont toujours là, 1 an après et malgré tout
* Un rédacteur au top pour PopMovies
* Surmonter (un peu) mon agoraphobie et aller à des concerts
* Le concert de Night Beds (ICI)
* La magie de La Belle et la Bête (LA)
* Londres à nouveau (this way)
* Le boulot (même si parfois c'est pas ça...)
* Les super collègues animateurs
* Le Walter Mitty Jump (Là-haut)
* Une bonne santé (très important !)
* Des sourires, des rires, beaucoup...

Impossible de faire la liste de tous les meilleurs moments, il y en a eu beaucoup et je compte bien continuer sur cette lancée en 2014. En ne gardant que le meilleur de chaque jour !
Au diable les contrariétés, il y a toujours quelque chose de positif à garder d'une journée. Il suffit d'ouvrir les yeux et de faire fi du négatif.



J'espère que pour vous aussi cette année s'est bien passée et que vous êtes prêts à mettre 2014 à vos pieds ! En ne vous souhaitant que le meilleur !




mercredi 18 décembre 2013


En dehors de PopLife, je tiens principalement un blog cinéma depuis 4 ans : PopMovies.

PopMovies, le nom fait bien sûr pensé à PopCorn et c'est tout naturellement que j'ai intégré ça au logo (dessiné par Sarah).
En tant que PopMovies, il était donc inadmissible que je n'ai rien pour me faire du PopCorn chez moi. Mais heureusement pour moi, ce week-end j'ai trouvé mon bonheur et je ne suis pas déçue de cet achat.
Direction donc une de mes boutiques préférés, Alice Délice à Cour St Emilion, où je tombe sur une boîte Magic Pop. Au dos, il est expliqué qu'il suffit de mettre 75g de maïs, de refermer le couvercle et mettre 3 mn au micro-ondes (en arrêtant et secouant à la moitié) puis de déguster.
C'est simple alors je n'attends pas et l'achète ainsi qu'un paquet de maïs à côté.

Premier test, une poignée de maïs dans la main suffit largement, on met 3 mn, secoue à la moitié, ça fait "pop, pop", ça sent bon quand c'est fini, on découvre la boîte complétement pleine de PopCorn.


Alors bien évidemment ils sont natures mais très bons. Mais si vous les voulez sucrés, c'est tout simple : faites fondre du beurre dans une casserole et une fois fondu, rajoutez du sucre. Mélangez puis mettez ça au fond d'un saladier, versez le popcorn dessus et mélangez bien le tout. Et vous obtenez du popcorn sucré en moins de 2 mn.

Après, on se cale tranquillement devant un bon film et on peut déguster le popcorn sans crainte de déranger son/sa voisine :)

Magic Pop (existe en rouge et en vert) : 19€90
Paquet de maïs de 500g : 4€25

dimanche 24 novembre 2013


Muriel, ou Le mariage de Muriel, c'est le film qui a bercé ma jeunesse. Le film qui m'a fait découvrir ABBA et Toni Collette. Le film qui me redonne le sourire et une bonne dose d'espoir.

Muriel c'est un boulet, une moins que rien inutile qui n'arrive pas à trouver du boulot ou un copain, grosse, voleuse et menteuse, elle est une gêne, comme le reste de sa famille pour son père qui a des ambitions politique mais n'arrive à rien à cause d'eux.
Rien ne lui sourit à cette chère Muriel. Elle suit comme un petit chien un groupe de filles populaires, des pouffiasses, mais là aussi elle se fait rejeter, représentant une honte sur les 4 filles à la mode.

Le tableau n'est pas joli mais c'est ce qui fait toute la beauté du film.
Vous l'avez compris, Muriel n'a rien pour elle et pourtant elle décidera de prendre sa vie en main et arrivera à relever la tête.
Cela prendra du temps mais le changement commence à opérer lorsqu'elle trouve une épaule sincère en Rhonda, une amie d'école délurée et bien dans sa peau. Ensemble elles rigolent, vivent et Muriel fait un pas vers l'émancipation. Elle trouve un boulot dans un vidéoclub et se voit enfin proposer un rendez-vous (ah le vidéoclub, ce plan drague idéal).
Mais le bonheur est de courte durée. Un triste événement vient s'abattre sur les deux amies et Muriel replonge dans ses mensonges et ses rêves.

Un des passages les plus marquants reste quand elle se confie pour la première fois. Brise coeur que d'entendre de sa propre bouche ce que les autres disent d'elle, ces mots dures qu'on lui a répété toute sa vie sont d'une violence quand elle les prononce. "Je ne veux pas redevenir cette nullité !". La phrase terrible qui achève ce monologue coup de poing.

Elle touche le fond, réalise son rêve d'un beau mariage avec un beau blond nageur mais ce n'est qu'un énorme mensonge. Une vie idéale, basée sur un mensonge mais qu'importe, elle est Madame. Malheureusement son bonheur est vite arrêté par l'événement le plus terrible dans la vie d'un enfant... Un choc, un retour brutal à la réalité, horrible moment où elle prend enfin conscience de qui elle est, de ce qu'elle doit faire. Elle montre sa vulnérabilité et sa force, retrouve celle grâce à qui elle a réussi à passer un cap et ensemble elles s'envolent pour de nouvelles aventures. Une amitié, une vraie, des rires et des sourires, des larmes de joie. Muriel est prête à vivre sa vie, comme elle le rêve et sans mensonge.

Muriel c'est le film qui a bercé toute ma jeunesse, je l'ai vu et revu des dizaines de fois, je connais les répliques par coeur et je sais qu'en le regardant je me sentirais mieux, beaucoup mieux.
Toni Collette est une véritable révélation et aujourd'hui elle est assez méconnaissable.
Et en ce qui concerne ABBA, les titres utilisés dans le film collent parfaitement et ont une très grande importance. Sans eux, la magie ne serait pas efficace.



lundi 18 novembre 2013


Envie d'une petite touche de soleil pour l'automne ? C'est possible avec la nouvelle gamme de Body Shop !

Honeymania, une collection comme son nom l'indique à base de miel (reconnu pour ses bienfaits) et dont les produits sont tout simplement géniaux.
Au départ j'avais un peu peur que l'odeur soit trop sucré mais au final ça ne sent pas trop le miel. Une odeur un peu de fleur, non agressive mais très addictive. J'avoue que quand je me mets le beurre corporel, non seulement l'odeur tient toute la journée mais je ne peux m'empêcher de me sentir. C'est tellement agréable, ça apaise et donne cette impression de soleil, de vacances.

Je me suis laissée tenter par l’exfoliant, à la texture épaisse et des petits grains exfoliants qui n'agressent pas la peau comme d'autres. D'habitude je me retrouve souvent avec la peau irritée et rouge mais pas dans ce cas, ce qui est un bon point. Ma peau est plus lisse et douce après.
Et j'ai aussi pris le crème corporel, dont je vous parlais plus haut. Pas gras, il est parfait pour une peau sèche comme la mienne, il nourrit et aurait tendance à rendre la peau plus doré. Mais sur ce dernier point je ne sais pas si c'est vraiment un effet où si c'est juste ma fanatitude qui me fait voir des choses.

Il y a d'autres produits pour cette collection dont un gel douche, un baume pour les lèvres, un savon et un parfum.

Quoi qu'il en soit, je ne suis pas déçue par cette petite découverte qui fait du bien à la peau et au moral. Une gamme qui sent bon, agréable et donne une impression de soleil.

Exfoliant 200ml 14€
Beurre corporel 200ml  17€



samedi 16 novembre 2013

L'automne est désormais bien installé, les journées sont fraîches et le temps est venu de se jeter sur les bons petits plats chauds.

Dimanche, l'envie d'une bonne gaufre se fait trop pressante et j'avais repéré un endroit plutôt sympa donc ni une ni deux, j'enfile pull, écharpe et manteau et me voilà en route pour manger la gaufre qui hante mes rêves.

Direction la rue Mouffetard, à la recherche de la petite boutique verte et rose de Rosa Kiwi.
J'entre et il y a un petit monde déjà attablé autour de ces fameux Frozen Yogurt. Je découvre le lieu, cosy mais mignon et l'on m'explique le fonctionnement. Ici c'est du libre service, tu rentres, tu prends un pot sur le côté et tu fais couler toi même le yogurt puis tu rajoutes comme tu veux du coulis (chaud ou froid) et des toppings.
Mais il fait froid et mon envie se porte plus vers le chaud et la gaufre que je commande. Un petit temps d'attente est nécessaire, le temps pour moi de me familiariser avec l'endroit et de faire mon choix sur l'accompagnement. Ça sera une gaufre avec du coulis de chocolat au lait et du frozen yogurt à la fraise.

http://instagram.com/cecile_fd
Vient le moment de payer et là le concept est plutôt original puisqu'il n'y a pas de prix imposé. C'est au poids que cela se fait, comme pour les bonbons que l'on prend au cinéma et que l'on pose sur la balance.

Je m'installe sur l'une des chaises hautes et déguste avec un immense plaisir ma gaufre, celle dont je rêvais depuis des semaines.
Le mélange était très sympa et le yogurt absolument délicieux ! Un des meilleurs que j'ai eu l'occasion de goûter. Du coup j'avoue que j'aurais bien pris juste un pot avec du yogurt... Ca sera pour une prochaine fois.

Au final, j'approuve assez Rosa Kiwi et j'y retournerais certainement pour tester un bon pot de yogurt !

Après, je ne suis pas vraiment convaincue par le système du prix au poids... C'est intelligent, ça pousse à mettre un max de choses dans le pot comme on ne se rend pas compte mais je ne suis pas très fan de ce côté aléatoire si tu fais la même chose que quelqu'un d'autre...
Et puis en terme de toppings j'ai trouvé ça plutôt moyen, sans beaucoup de choix. je garde toujours en comparaison Yogurt Factory et sa belle présentation de toppings pour tous les goûts et toutes les envies.

Rosa Kiwi
4 rue Mouffetard
75005 Paris

Rosa Kiwi - Site officiel
Rosa Kiwi - Page Facebook


dimanche 3 novembre 2013

 PopLife déménage ! Rendez-vous sur mypoplife.fr  !

Après avoir arpenté les cimetières, direction les célèbres et angoissantes Catacombes de Paris...

Avant toute chose, si vous souhaitez les visiter j'ai un énorme conseil que vous devez respecter à la lettre : arrivez tôt ! Le plus tôt possible !
En effet, je suis arrivée à 14h pile et il y avait déjà une bonne file d'attente qui commençait un peu avant l'entrée au square juste à côté. Pas pile devant l'entrée, un peu avant et c'est ça qui m'a "sauvé". Car voyez-vous, c'est clairement une grosse attraction touristique et la gestion des Catacombes laisse clairement à désirer.

Je m'explique. Si vous arrivez après 14h et que vous vous retrouvez au niveau de l'entrée du square, vous n'aurez aucune chance de rentrer !
Je suis arrivée à 14h, la file avance au pas, comme un escargot voir plus lent, et il m'aura fallu 2h avant de pouvoir rentrer et j'ai eu de la chance que des gens devant moi perdent patience et s'en aillent. Sans quoi je n'aurais pas fait parti des 15 derniers chanceux qui ont pu rentrer. 
Derrière moi, une trentaine de personnes qui attendaient depuis donc 3h, se voit refouler à quelques mètres de l'entrée. Super sympa non ? Surtout que les températures sont chaudes en ce moment... 


Alors pourquoi autant d'attente et des risques de se faire refouler après des heures dans le froid ? 
Les Catacombes ont une capacité de 200 personnes par visite, ils les comptent vraiment et la visite prenant environ 45 minutes pour faire les 2km, cela explique la longue attente. Mais même pour des raisons de sécurité évidente, cela ne pardonne pas l'horrible gestion. Pourquoi ne pas mettre en place un système de vente par internet ou en magasin ? Avec un nombre limité de places par jour ? Cela permettrait aux gens d'avoir l'assurance de rentrer !

Enfin bon. Une fois passée l'attente, en musique ça va un peu mieux, place à la fameuse visite. Un peu angoissée car un peu claustro, il faut descendre les 130 escaliers, qu'on ne sent pas, la température baisse, on parcours des longs couloirs, le plafond est bas, puis vient enfin le moment que tout le monde attend : l'entrée dans l'ossuaire.
Personne sensible s'abstenir, sur des kilomètres s'empilent donc des crânes et des os, tous bien rangés les uns sur les autres. Un impressionnant travail qui prend parfois la forme d'un coeur ou d'une immense balle.

On continue l’avancée, admirant les étendues de crânes, en s'imaginant ceux qui sont à l'origine de ce travail.
Les crânes c'est bien beau mais pour changer un peu d'air il y a deux gros points impressionnants où il faut lever la tête pour rester bouche bée sur la hauteur. Des passages de 10m20 de hauteur !


La visite se termine, un sentiment assez mitigé et une pointe de déception. L'organisation y est pour beaucoup.

Quelques informations :
  • Tarifs : 8€ (normal), 6€ (réduit - familles nombreuses, enseignants, chômeurs, + de 60ans), 4€ (14-26ans, minima sociaux sur présentation justificatif) et entrée libre pour les moins de 14ans. Carte bleue acceptée dès 1
  •  Prévoir d'arriver tôt, dernier carat 14h car fermeture des portes à 16h, fin de la visite à 17h. 
  • Pensez à vous couvrir, la température à l'intérieur descend vite

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lundi 28 octobre 2013



Ah James Blunt... Comment ne pas oublier son célèbre titre "You're beautiful", devenu le générique de L'amour est dans le pré.

Je me souviens comme si c'était hier la première fois que je l'ai entendu et je me souviens être une des premières à avoir accroché et acheté son album tout de suite.
Après un premier album plutôt convaincant, la suite s'annonçait dur pour cet ancien soldat et malheureusement il n'a pas réussi à confirmer. All the lost sounds et Some kind of trouble n'ont pas réussi à trouver un public et à chaque fois, une caractéristique reste sur les albums, bien que décevants : une chanson se détache toujours du lot. Oui mais voilà une chanson sur 12 ou plus ce n'est pas suffisant pour assurer le succès.

Trois ans après son dernier album plus pop, James Blunt est de retour avec un 4ème opus plus folk.
Dès le premier titre, la magie opère, on part en ballade avec le chanteur sur sa moto, à travers les Etats-Unis ou sur la Lune, sa voie envoute, les titres sont nettement moins mélancoliques que d'habitude mais il y a un petit quelque chose qui nous parle. Une petite étincelle dans les oreilles qui fait du bien.

Il aura fallu du temps pour que l'on retrouve le James Blunt qui avait séduit il y a de ça presque 10 ans !
Un album de la maturité, plein d'amour, de joie, des textes qui disent d'aller vers l'avant comme le premier titre sublime "Face the sun".

Avec la satisfaction de cet album vient l'envie de voir le chanteur sur scène. Et ça tombe puisqu'il sera en tournée en France en mars prochain, avec un passage au Zénith. Me laisserais-je tenter par le concert ? En attendant de me décider, j'écoute en boucle Moon Landing et ne me lasse pas.





dimanche 27 octobre 2013

 PopLife déménage ! Rendez-vous sur mypoplife.fr  !

Le musée du Quai Branly c'était une envie depuis son ouverture en 2006. Près de 7 ans après donc, après de plans tombés à l'eau, direction ce musée exposant des oeuvres des civilisations d'Afrique, d'Océanie, d'Asie et d'Amériques.

Pour cette première visite, dimanche dernier, j'ai profité du tarif pour les moins de 25 ans, soit l'entrée gratuite. Autant le dire, ce généreux système que mettent en place certains musées sont vraiment intéressants, en dehors du fait de la gratuité, puisque cela permet de se faire un premier avis sur un musée.

Le verdict de cette visite au Quai Branly a été plus que satisfaisante. Loin d'être déçue par la richesse des collections présentées, je sais désormais que le musée vaut le coup pour leurs prochaines expositions. C'est d'ailleurs à ce moment que je regrette de ne pas y être allée plus tôt car j'en ai loupé qui avaient l'air vraiment bien. Mais ça n'est que partie remise, je suis sûre que les autres seront tout aussi bien, sur le papier et en vrai.

Le musée offre un voyage à travers des civilisations, des coutumes inconnues, on s'enfonce dans le musée et on aimerait pouvoir y rester des heures, à contempler chaque oeuvre, se représenter la situation dans laquelle tel masque est utilisé.


Un réellement enchantement que ce musée du Quai Branly que je ne peux que vivement vous conseiller de faire. Envolez-vous le temps d'une visite pour d'autres univers et revenez pour les expositions qui devraient être tout aussi passionnantes.

Deux petits conseils pour votre visite : si vous avez moins de 25 ans, courez-y et profitez du tarif pour les jeunes ! Ensuite évitez d'y aller trop tard, pour pouvoir admirer en toute tranquillité les oeuvres, sans toute les familles et les enfants. J'y suis allée tôt et heureusement car à partir de 16h, la foule commençait à arriver et l'ambiance devenait moins propice à la rêverie.

Plus de photos : Flickr


vendredi 25 octobre 2013



Mieux vaut tard que jamais !

Aujourd'hui, je vous parle (enfin !) du nouveau album de Stromae, Racine Carrée sorti le 19 août dernier.
D'un côté je n'ai pas vraiment l'impression d'avoir du retard, d'un côté je n'ai suivi la masse d'articles pour féliciter (ou non) l'album, je ne me suis donc pas noyée dans la masse. Et puis quand je vois que l'album est toujours dans le top d'écoutes sur Deezer, ça me conforte et me pousse à faire cet article, deux mois après sa sortie.

On le sait, le second album pour un artiste qui a connu un énorme succès grâce à son premier titre est souvent crucial. C'est souvent l'album de la révélation, va t-il confirmer avoir du talent ou va t-il prouver que ce n'était que de la chance ? Nombreux sont ceux qui chutent et n'offrent qu'un album médiocre.

Où se positionne donc Stromae et sa Racine Carrée ?

Surprise, surprise, le chanteur belge explose tout avec ce nouvel album et force est de constater dès la première écoute que c'est bien mieux que son premier opus Cheese.
Combien de fois cela arrive t-il ? Je ne sais pas mais c'est rare, très rare.
Electro, rap, balade, des textes savamment composés, parfois avec humour, le grand génie sait tout faire et plus que de la musique, il offre à nos oreilles de la poésie qu'on ne se lasse pas d'écouter.
La famille, l'amour, les différences hommes-femmes, la jeunesse 2.0, la politique, le racisme, l’alcool sont les thèmes que le le chanteur abordent avec justesse. Chaque titre est différent, la musique, le rythme sont différents, il n'y a donc aucune lassitude dans l'écoute et c'est un réel plaisir d'enchaîner les titres.

Stromae s'impose, impose son style décalé, sa maitrise, son talent. 
Deux mois après, il est toujours au top et alors qu'en général je ne supporte pas les jeunes qui mettent leur musique à fond dans les transports, j'étais pleinement ravie d'entendre jeudi dernier le nouvel album de Stromae dans les oreilles de mon voisin de RER.

Ne parlons pas tout de suite d'un 3ème opus. Profitons au maximum de cette Racine Carrée, de cette énergie dégagée et croisons les doigts pour voir très prochainement sur scène le maestro !




samedi 19 octobre 2013


PopLife déménage ! Rendez-vous sur mypoplife.fr  !

Jeudi soir, j'étais invitée par Disney pour découvrir la comédie musicale La Belle et la Bête au théâtre Mogador

Après Spamalot, je continue doucement mais sûrement ma découverte des comédies musicales et pour ma 2ème fois, c'était certainement le plus beau moment que j'ai eu l'occasion de vivre. J'ai d'ailleurs encore un peu de mal à redescendre de mon nuage, j'y repense et écoute, encore et encore, la bande originale du film.

La magie opère dès que le prologue est raconté, et l'on reconnaitra la voix de Catherine Deneuve. Dès ce moment et pendant tout le spectacle, la nostalgie de l'enfance et des images du film viennent en tête.
Les chansons sont entrainantes et je me retiens de ne pas chanter, ou du moins murmurer, en même temps que les comédiens. Tape du pied, bouge la tête et un énorme sourire baba. Voilà dans quel état je me suis retrouvée et malgré un petit incident personnel durant l'entracte (où j'étais en gros stress...), quand la lumière s'éteint et que le show reprend, le sourire revient immédiatement.


Dans les comédiens, le chouchou de ses dames, j'ai nommé Gaston, affole aussi le public et son interprète est tout simplement génial, dans le rôle de ce macho, complétement idiot.
Comme dans le film, Lumière est très drôle et attachant, là aussi le comédien fait une très bonne prestation.
La Belle s'en sort très bien mais la Bête est bien douce, pas assez bête comme dans le film. Mais malgré ça le duo fonctionne.


L'orchestre fait un excellent travail et rend le tout encore plus magique, ou plus simplement, c'est grâce à lui que la magie opère.

En rentrant, les chansons trottent encore dans la tête. En se couchant, les images du spectacle et du film envahissent les pensées et les chansons viennent bercer et adoucir cette fin de soirée, définitivement l'une des plus belles.


Envie de retomber en enfance, de vivre l'un des plus beaux musical et de verser quelques petites larmes (oui j'avoue ! Le final fait de l'effet...) ? Alors n'attendez plus une seconde et réservez votre place pour le musical !

La Belle et la Bête au théâtre Mogador du 25 octobre 2013 au 27 juillet 2014. Réservation sur le site officiel.

Photos :  Brinkhoff/Mögenburg © Disney

PS : un des avantages du théâtre, on voit très bien depuis le balcon ! Donc il n'y a pas forcément besoin de casser la tirelire ;)
PS 2 : j'ai vu le spectacle une 2è fois en orchestre et je trouve que l'on voit moins bien ! On se retrouve un peu en-dessous de la scène et les comédiens regarde droit devant eux, vers les sièges en corbeille. Donc choisissez soit en corbeille soit au balcon.





mercredi 9 octobre 2013

Et si on était tous happy en ce mercredi ?

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas le "What I'm Loving Wednesday", c'est tout simple. Le mercredi, milieu de la semaine, c'est le moment où l'on fait un petit bilan, positif bien sûr !, de ce qu'il s'est passé les deux jours précédents et des deux prochains jours avant le week-end.

Que du positif !

* La motivation est clairement revenue ! Beaucoup de projets pour PopMovies qui se concrétisent petit à petit, le planning est pour le moment bien respecté. J'espère que ça va continuer sur cette bonne lancée !

* J'ai pris mon après-midi pour aller à l'après-midi Warner Bros., toujours pour PopMovies, et ça fait du bien d'avoir une petite coupure avec le boulot, le temps d'un après-midi. Et ensuite j'enchaîne avec la projection de 9 mois ferme !

* Nouvelle application installée sur le téléphone avec Runtastic. Il me tarde de l'essayer !

* La musique bien motivante que j'écoute en ce moment c'est la BO de Rush ! Le nouveau film de Ron Howard à voir absolument.

* L'automne arrive et avec l'annonce de soirées tranquilles au chaud, à regarder des films, avec des bougies allumées et des bons petits plats.

* Les prochaines vacances sont en préparation, direction les US...




lundi 7 octobre 2013

Avec la rentrée vient le temps des bonnes résolutions et la question de quelle activité sportive faire ?

Pour ma part, la reprise du sport n'est pas vraiment une bonne résolution puisque j'ai toujours été active. Non c'est juste que j'ai retrouvé la motivation et le besoin de remuer mes fesses, comme dirais ma mère.
Petit à petit, j'ai renfilé ma tenue de sport, ressorti les baskets et hop direction les quais de Seine proche de chez moi pour un footing. Doucement d'abord, avec 30 min une fois par semaine, le temps de reprendre les bons réflexes de respiration et de voir si mon genou gauche supportait l'effort. Deux mois ont passé, un tout va bien, mon inflammation ne se manifeste plus, je fais bien attention.

Courir c'est bien mais ce n'est pas assez pour moi.
J'ai investi à Go Sport un stepper (Body Care), des poids de 1,5kg et un élastique. 

Ce n'est pas mal, c'est à portée de main et ça dépanne mais soyons honnêtes, ça ne remplacera pas une vraie bonne salle de sport.


Vient donc la question cruciale de quelle salle de sport choisir ? 
Le choix ne manque pas mais je ne trouve pas mon bonheur. Les plus abordables au niveau du tarif proposent un abonnement soit à la salle soit au cours mais pas les deux. Pour avoir les deux, il faut compter un peu plus. Vient ensuite la question de l'hygiène, qui laisse souvent à désirer. Et puis il faut aussi prendre en compte le facteur géographique. La motivation est souvent dure à trouver, surtout en hiver, et faire des heures de trajet pour quelques minutes de sport n'est pas rentable ou alors la plupart feront dans ce cas 2h à la salle de sport 2 fois par semaine, ce qui n'est pas très efficace.
Il y a plusieurs facteurs en prendre en compte, voilà pourquoi ce n'est pas évident.

J'étais inscrite il y a 2 ans à une salle qui était très bien mais avec le temps, les machines étaient en panne et n'étaient pas réparées immédiatement, ce qui fait que l'on devait faire la queue pour accéder à la seule machine sur 3 en état.
Sans compter le fait que les gens ne nettoyaient pas les machines après avoir transpiré, résultat les manches étaient collants, et que je me faisais mater par des gros relous (bon il y en a partout), j'ai donc quitté la salle. A regret parce qu'au fond elle me convenait, les prix étaient accessibles, le personnel très gentil et l'abonnement comprenait la salle et les cours.


Tout ça pour dire qu'il faut faire une activité sportive, régulière et ne pas forcer car le résultat se mesure sur la régularité et non sur la quantité. Après l'effort, le réconfort, on se sent beaucoup mieux, léger et plus motivé et si l'on fait attention à son alimentation, le corps nous dit merci et c'est fini de tomber malade (véridique !).
En attendant de trouver la salle de mes rêves, je continue mon footing et mes exercices à la maison.

Et vous, avez-vous trouvé une salle qui vous convienne ? Sinon que faites vous pour rester en forme ?




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vendredi 4 octobre 2013



Vendredi dernier, direction le théâtre Bobino pour la première représentation de Spamalot, qui revient après une pause de 3 ans.

Emmenée par Pierre-François Laval, alias PEF, la comédie musicale reprend, pour les connaisseurs, le film culte Sacré Graal des anglais Monty Pythons.
On ne doute pas des talents de l'acteur-comédien que l'on a découvert avec la série de Canal + Les Robins des Bois et qui depuis signe une belle carrière au cinéma.

Spamalot c'est une comédie musicale de 2 heures, intenses en rire, entrainantes par ses chansons et déjantées par ses répliques où la troupe du Roi Arthur part à la recherche du fameux Graal et dans sa quête ils rencontreront des obstacles.
Des rires il y en a et dès le début avec une toute petite intro hors sujet. Il faut se préparer à avoir quelques douleurs au niveau des joues.
Puis vient l'entract, une pause bien mériter pour les comédiens et qui donne encore plus envie de (re)découvrir la fin du spectacle.

Aucune retenue, ils jouent des clichés et des conventions et font appel au public, les comédiens se glissent parfaitement dans les personnages et les rendent vraiment attachants.
Quand vient la fin, la tristesse fait son apparition mais la joie est là et on sort de la salle avec un gros sourire et quelques chansons en tête. Qu'une seule envie : y retourner !

Always look on the bright side of life !

Envie de voir Spamalot ? Courez-y ! Prenez votre place sur la Fnac.






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vendredi 27 septembre 2013


Jeudi soir, direction le Hard Rock Café de Paris pour découvrir (grâce à M. et Alice) la Hard Rock Couture qui présente les 20 pièces rock qui ont marqué la mode.

Mais avant cela, une petite présentation très intéressante de la chaîne Hard Rock Café que, personnellement je ne connaissais pas vraiment très bien, et réserve de belles surprises.
Née il y a 20ans, la chaîne se retrouve un peu partout dans le monde et propose des articles personnalisés et inédits à chacun et c'est aussi, comme tout le monde le sait, des restaurants, des hôtels avec des suites de rock star et des casinos.
Mais la partie que je connaissais pas du tout c'est l'engagement de la chaîne. Ainsi tout chaque octobre, Hard Rock Café se met au rose pour soutenir la lutte contre le cancer du sein avec Pinktober et propose une gamme de vêtements et objets à la couleur et dont une partie de la recette est reversée à l'association "Breast Cancer Research Foundation". Une belle démarche, très peu répandue malheureusement.

De plus, elle a un partenariat avec certains artistes, dont Shakira et Linkin Park, qui signent pour elle une série d'articles dont la vente permettra à Har Rock Café d'acheter des tenues de scène, en échange de reverser la somme à la star et qui ira à une association de leur choix.

Voilà pour la partie non connue du Hard Rock Café et maintenant revenons à la soirée.

Il s'agissait de la présentation des 20 pièces rock portés par des icônes et qui ont marqué la mode. Parmi les pièces exposées, qui venaient tout droit des Etats-Unis : le célèbre blouson rouge de Michael Jackson, la tunique blanche du King Elvis Presley, le bustier de Madonna, la veste de John Lennon mais aussi des tenues un peu plus récente avec Shakira, Lady Gaga ou la robe de Katy Perry pour laquelle j'ai complétement craqué.


Si vous avez l'occasion de passer au Hard Rock Café de Paris surtout n'hésitez pas, l'exposition dure jusqu'au 4 octobre et elle est gratuite. 
C'est très sympa de voir en vrai ces tenues mais aussi des photos des artistes, des lettres... Pour les fans de musique et de mode, direction la Hard Rock Couture !

Crédit photo : cecile_fd
Plus de photos : Flickr



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jeudi 26 septembre 2013


Un petit geste écolo avec la Bobble Water.

La Bobble Water est arrivée sur le marché en Février 2010 et c'est via l'actrice engagée Sophia Bush que j'ai découvert le concept très sympathique de cette petite bouteille qui filtre l'eau du robinet.

Idéal et très pratique, on sent clairement la différence si vous testez l'eau du robinet brute puis avec la Bobble Water, l'eau est clairement plus agréable.
Si au bureau ce système peut faire sourire, des petites voix glissent quelques mots sur la qualité de l'eau qu'ils boivent et n'apprécient pas forcément. Point pour moi.

Vous me direz pourquoi ne pas prendre une bouteille d'eau ? Certes... Mais dans ce cas il y a la question de s'il faut prendre une grande ou une petite bouteille pour toute la journée, un geste à répéter tous les jours, donc il faut investir un peu plus, entre l'eau pour la maison et celle du bureau (enfin pour moi). Et cela veut aussi dire jeter du plastique en plus.
Quand je suis partie à Londres, j'avais ma bouteille avec moi, je faisais donc une petite dépense en moins et il me fallait juste des toilettes ou une fontaine pour la remplir.
Alors voilà, avec ma Bobble Water que j'emmène partout avec moi, je fais des économies, un geste écolo et en achetant la bouteille, 1€ est reversé à la Croix Rouge Française afin d'améliorer l'accès à l'eau et l'assainissement dans le monde. Un beau geste qui devrait s'étendre à l'achat aussi des filtres. Car oui, pour s'assurer que le filtre fonctionne toujours bien, il faut en changer tous les 2 mois. Un investissement qui pourrait contribuer à l'amélioration de l'eau dans les pays sous-développés.

Au niveau des tarifs, il me semble que ce sont des prix imposés (12€ la bouteille et 8€ pour le filtre à l'unité) et maintenant on en trouve un peu partout, notamment à Alice Délice et Boulanger (ce dernier fait parfois des filtres à 2 ou 3€).

En résumé, la Bobble Water vous permet de boire l'eau du robinet grâce à son filtre et un petit plus pour les girls, plusieurs couleurs sont disponibles pour celui-ci : vert, rouge, noir, jaune, rose et noir. Cela devient un accessoire de mode écolo.




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dimanche 22 septembre 2013

PopLife déménage ! Rendez-vous sur mypoplife.fr  !

Quelle incroyable histoire que celle de la franchise belge Le Pain Quotidien !

Quand je dis "incroyable", je veux dire que son succès s'est surtout fait à l'étranger et que la plupart des français, dont moi, qui vont là-bas, le font après l'avoir découvert à des kilomètres. Partir loin pour tester quelque chose qui se trouve à quelques minutes de chez soi...
En disant ça, je ne fais bien sûr pas une généralité mais un simple constat après en avoir discuté avec mes voisins de table qui connaissaient le nom après un séjour ... au Mexique ! Et personnellement c'est à Londres que j'ai connu cette boulangerie/restaurant bio.

Profitant d'un dimanche ensoleillé, je me suis rendue au Pain Quotidien qui se trouve St-Honoré, à côté du Jardin des Tuileries.
Il est 11h30 et il y a déjà une bonne petite file qui attend de pouvoir s'installer mais je n'attendrais pas très longtemps avant de pouvoir m'attabler à mon tour. Une fois la carte devant les yeux, mon ventre se manifeste et je suis tentée par le "Brunch royal" qui propose une assiette de saumon fumé ou un assortiment de charcuterie avec du fromage. Mais je joue la carte de la fille raisonnable en voyant le prix de 25euros95 et passe commande pour le "Brunch paysan", tout aussi copieux.

Le Brunch paysan comprend (22euros95):
  • 1 boisson chaude au choix
  • 1 viennoiserie au choix : croissant, pain au chocolat ou brioche
  • 1 jus de fruit
  • 1 assiette avec du jambon, Comté, salade et tomates
  • 1 oeuf à la coque
  • 1 petit bol de Granola avec un yaourt
  • Du pain
  • Et bien sûr, le must, les confitures, miels faites par Le Pain Quotidien

Le Pain Quotidien ce n'est pas qu'un délicieux brunch, c'est aussi de belles rencontres.
A ma droite, un couple de français qui a donc connu l'enseigne à l'étranger et ne savaient pas qu'elle se trouvait aussi ailleurs qu'à Paris. Une petite recherche sur le net et l'on découvre qu'elle est aussi à Aix-en-Provence et Lille. Puisque nous sommes à voir où elle se trouve, une autre recherche à l'international s'impose : Japon, Koweït, Argentine, Inde, Australie, Russie, Espagne... Ça force l'admiration.
Étant arrivés bien avant moi, ils partent en me souhaitant une bonne journée et avec le sourire. Comme quoi il y a bien des parisiens aimables.

A ma gauche, je fais la rencontre d'un charmant couple d'américain qui vient de Californie. Ah la Californie... Pour eux, aucune surprise, ils connaissent très bien l'enseigne implantée là-bas et souvent un endroit chouchou des célérités.
Pas de brunch pour eux. Ils sont habitués et se sont laissés tenter par d'autres plats du menu donc une alléchante gaufre avec de la chantilly.
La discussion s'oriente sur le meilleur brunch de Paris. Le meilleur brunch de Paris... C'est une bonne question à laquelle je n'ai pas la réponse mais je leur donne le fameux site Oubruncher et explique le fonctionnement.
A leur tout de partir, non sans un au revoir incroyablement chaleur comme les américains en ont l'habitude. De grands sourires, un gros bisou, des signes de la main jusqu'à ce qu'ils disparaissent.

Voilà un brunch que je n'oublierais et qui fait chaud au coeur en y repensant. J'ai prévu d'y retourner, pour tester le brunch royal mais aussi le reste de leur carte

Si vous aussi vous avez envie d'un bon brunch, avec des produits frais et bio, des serveurs très gentils et des voisins agréables alors je vous conseille vivement Le Pain Quotidien !

Crédit photo : Cecile_Fd



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lundi 2 septembre 2013



Août 2013, deux mois après un premier séjour de 4 jours à Londres, je remets ça ! Même durée, même endroit mais cette fois un programme nettement plus léger.

Comme il s'agissait de 4 jours de vacances, en raison de la fermeture du bureau, je n'avais pas très envie de m'épuiser à faire de longues marches et trop côtoyer la foule de touristes.
J'avais prévu un petit programme mais j'ai joué de malchance cette fois et je n'ai pas pu faire ce que je voulais. Déception. Et pour la première fois que je vais à Londres, j'ai eu droit à de la pluie, pas des trombes d'eau mais des averses qui ont pas mal contrarié aussi mes plans.

Malgré ces imprévus, j'ai quand même réussi à me reposer et profiter à nouveau de l'énergie Londonienne.
Comme je travaille dans un musée scientifique, impossible de passer à côté du Science Museum de Londres et même si encore une fois je suis épatée par la grandeur et la richesse, j'étais plutôt déçue du contenu au final. Quelques présentations m'ont plu, notamment la section sur les énergies et la vitrine où était proposée de considérer le caca (classe hein) comme future énergie. Le cartel disait ainsi que dans quelques temps les enfants auront des "caca-box" qu'ils emmèneront à l'école pour faire leurs besoins et rapporteront à la maison pour en tirer l'énergie et qu'il sera "normal" de l'offrir à l'anniversaire d'un(e) ami(e). Ces anglais, quelle classe (photo).

N'ayant pas eu le temps la dernière fois de voir beaucoup du Victoria & Albert Museum, je me suis ensuite empressée d'y aller et j'ai cette fois eu le temps de tout faire mais vraiment tout ! Je serais tentée par dire que c'est mon musée préféré et j'ai pris beaucoup de plaisir à le parcourir et voir sa collection des arts décoratif.

Journée passée dans les musées, la fin de ce premier jour se fera au parc, à Kensington Gardens avec un petit pique-nique/diner improvisé avec un peu de lecture (Inferno de Dan Brown).
Le soir je rentre à l'hôtel, toujours à l'Olympic House Hotel.

Le lendemain, j'ai la mauvaise surprise de découvrir que mon voisin de chambre est encore plus matinal que moi (4h30 et il met la télé à fond...) et cela va durer pendant 3jours... C'est aussi là que j'apprends que mon petit programme tombe à l'eau, ce qui est assez gênant car ça me faisait 2 bonnes activités pour le séjour.
Tant pis, je suis là avant tout pour me reposer.
J'improvise donc et retourne sur Kensington où j'avais vu une galerie de photos dont l'entrée était gratuite.
Petite découverte fort sympathique avec des photos du monde, sur certaines civilisations et particularité, c'était de simples "amateurs", jeunes ou âgés, qui sont à l'origine de ces magnifiques clichés.

Mercredi, direction Camden, son célèbre marché, ses rues et ses passants. Je passe d'étale en étale et la tentation est grande de toute dévaliser vu les prix attractifs.
Je me prends un petit thé et un truc à grignoter au Starbucks à côté et me pose sur les berges pour profiter du calme et du soleil. Après quoi je reprends ma route, marche vers le Zoo, et sa file d'attente de plusieurs heures pour entrer, mais préfère le calme du Regent Park.

Jeudi, direction le British Museum pour plusieurs heures de découverte d'une impressionnante collection, comme toujours, avant de passer la fin de la journée plus tranquille, devinez où, au parc. En me dirigeant vers Hyde Park, j'ai eu droit à l'un des moments les plus drôles. Alors que je me trouvais au feu, des gens en face de moi traversent alors que c'est rouge pour les piétons. Je pose le pied sur le passage, une voiture arrive et l'un des piétons qui me faisait face fonce sur moi et me plaque en arrière en disant "Watcha ! Watcha !". En réalité, quand j'ai traversé, le feu était devenu vert pour les piétons mais il ne l'avait pas vu. Il s'est excusé, j'ai apprécié le geste, bien que violent. On ne verra pas ça à Paris...
Malheureusement la pluie fait à nouveau son apparition et je dois renoncer à mes plans de balade nocturne.

Vendredi, dernier jour, dernière heures, la journée est donc consacrée au shopping. Primark, le paradis du thé Fortnum and Mason, un tour à la librairie Waterstones et la papeterie Paperchase. Voilà que le séjour touche à sa fin, la valise est pleine, il est temps de rejoindre la gare où j'arrive avec pas mal d'avance. Une avance qui me permettra de croiser en toute simplicité l'actrice Gemma Arterton.
Par chance, un des employés me fera passer dans le salon d'attente tout de suite, au lieu que j'attende devant, par terre.

Des bonnes et moins bonnes surprises durant ce séjour, toujours beaucoup de marche et l'énergie de Londres a encore fait son effet et l'envie d'y retourner, pour de bon ?..., se fait de plus en plus fortes. En attendant de se lancer pourquoi pas dans cette grande aventure, retour à la réalité avec une certitude, je retournerais très vite à Londres !

Plus de photos : Flickr

dimanche 25 août 2013



Envie d'une escapade, d'ailleurs, Londres n'est qu'à quelques heures de Paris et pourtant à peine a t-on passé le tunnel sous la Manche que le dépaysement est total.

Quelque chose se dégage de cette ville, une bouffée de chaleur, de bien être, une énergie positive enivrante dont on ne se lasse pas. Oui, je suis bien arrivée à Londres, ville dont je suis tombée amoureuse il y a 10ans.

Ces derniers mois j'y suis retournée deux fois et comme à chaque fois que j'y vais, j'y suis bien, un sentiment de "home sweet home" et le retour à la réalité est toujours dur et déprimant.
En Juin et Août j'ai donc passé quelques jours là-bas. Quatre petits jours entre repos, visites, marche et surtout recharge des batteries avant de commencer un nouveau chapitre.

En Juin, mon séjour a consisté à visiter les lieux que je ne connaissais pas encore.
Mes visites commencent donc avec l'impressionnant Natural History Museum situé à South Kesington. Immense, riche, il faut y passer plusieurs heures pour voir un maximum de choses et après y avoir passé près de 2h, et après avoir avalé un petit sandwich, j'enchaîne avec le Victoria and Albert Museum. Malheureusement j'arrive un peu tard, le musée va bientôt fermer et je n'ai donc pas le temps de parcourir toutes les sections. Mais le peu que j'ai vu de cette première visite m'a émerveillé.

Après ma visite éclaire, je me dirige sans réel but vers Oxford Circus et là je tombe sur THE boutique dont tous les enfants rêvent, le paradis des jouets, j'ai nommé : Hamleys ! Sur 4 étages, la boutique n'est qu'une grande cour de récrée pour les petits, des animations partout, on peut jouer, toucher, il y a des bulles, des choses qui volent au-dessus des têtes, bref le paradis. En parcourant les étales, je tombe, au bonheur, sur la célèbre peluche de Mr.Bean !

La journée se termine tranquillement au chaud à Prêt à manger et une bonne nuit de sommeil à l'Olympic House Hotel. Un petit hôtel plutôt convenable, bien situé à Paddington dans une rue où il n'y a que des hôtels et proche de Kensington Gardens et Hyde Park. Idéal.

Deuxième jour à Londres, après un petit-déjeuner en compagnie d'Américains de Boston, c'est sous un soleil plus qu'agréable que j'entame ma journée à la Tour de Londres. Il faut venir dès l'ouverture afin d'éviter la foule de 11h et si vous êtes étudiant, pensez à montrer votre carte pour avoir le tarif réduit !
Après ce passage glaciale dans les salles de tortures, je retrouve le soleil pour une bonne balade qui me fera passer par la City et son célèbre Bean, puis je franchis le London Bridge qui m'emmène devant le City Hall. Un peu plus loin je m'arrête à Eat, une enseigne que l'on retrouve souvent pour m'acheter à manger.
Je continue ma route, passe devant les ponts qui ont servi à la série Luther et franchis le Millenium Bridge, sublime qui donne face à la cathédrale St-Paul. Sommerset House, Trafalgar Square, le soleil étant au rendez-vous je décide de m'offrir une petite glace avant de me poser tranquillement au St James Park.

Le lendemain c'était journée shopping avec les arrêts de touriste un peu obligé mais aussi un beau cadeau de moi à moi puisque je me suis arrêtée à Victoria's Secrets. Le paradis sur 3 étages de lingerie, pyjamas, t-shirts, maquillage, parfums. La tentation est grande de repartir les bras chargés (mais pas de t-shirt personnellement...).
Le petit marathon shopping terminé, il me reste du temps pour repartir à l'assaut du Museum of London qui comme son nom l'indique, retrace toute l'histoire de la ville, de la préhistoire à aujourd'hui avec une petite partie réservée au JO de Londres.

Dernier jour à Londres et rien de prévu car je suis chargé. La seule attraction du jour aura été de voir la mise en place de l'avant-première de World War Z à Leicester. Malheureusement pas de Brad Pitt pour moi car les célébrités n'arrivaient qu'à 17h et mon train était à 18h.
Pas très grave, l'ambiance est dingue, il y a foule, le soleil est là, c'est dimanche et je retourne me poser au St James Park pour profiter une dernière fois de cette atmosphère.

En quittant Londres j'ai retrouvé ma motivation, mon énergie, des envies plein la tête et un petit pincement au coeur à l'idée de partir. Mais une chose est sûre, je reviendrais !

Crédit photos : Cecile_Fd
Plus de photos : Flickr

dimanche 18 août 2013


Dan Brown est sûrement le rare auteur dont j'achète et lis les romans sans aucun doute sur la qualité. Depuis que je l'ai découvert avec son Da Vinci Code que j'avais dévoré en quelques jours, je remets à chaque fois le couvert lors d'une nouvelle publication. C'était donc avec un grand plaisir et beaucoup d'excitation que je me suis jetée sur son dernier roman, Inferno.

Dès les premières lignes, comme toujours je rentre dans la nouvelle aventure de Robert Langdon. Et quelle aventure ! Déjà la quatrième de couverture avait titillé ma curiosité et elle n'a pas été déçue avec cette incroyable mise en scène qui emmène notre universitaire dans une course contre la montre où la mort le poursuit.
Comme toujours, il est accompagné d'une jeune femme et c'est en Italie que l'action se passe. Cette Italie qui nous ait familière puisqu'elle était déjà la pièce centrale du second roman, Anges et démons. Dan Brown a cette aisance à décrire Florence, les mots employés sont magiques et nous font voyager.

La recherche de réponses s'annonce haletante, stressante et sans fin. Robert Langdon se retrouve amnésique, poursuivit par une élite spéciale, il évite plusieurs fois la mort et pour tenter de comprendre ce qui se passe, il va devoir décoder le seul message en sa possession qui l'emmènera sur des lieux mythiques et secrets.

La grosse première partie du roman est à la hauteur des attentes et de ce que Dan Brown nous a habitué mais la seconde moitié révèle un rebondissement qui surprend et qui déçoit un peu... Les masques tombent, le pourquoi du comment trouve une réponse assez tirée par les cheveux et c'est assez dur de l'intégrer.
La tension retombe d'un coup, la joie aussi et on se contente de lire les passages, en attendant que le dénouement tombe.

Il arrive mais on ne ressent pas cette magie, ce "wow" de chaque fin de roman. Certaines questions ne trouvent pas de réponse, on reste sur notre faim et la déception de la seconde partie se confirme.

Pas simple d'expliquer cette semi-déception, Dan Brown s'engage dans une voie planétaire qui ne correspond pas aux précédents. Je suis du coup tentée de relire les autres pour voir si ce sentiment se maintient ou non...

J'attends de voir l'adaptation cinéma mais regrette que Inferno soit privilégié par rapport au Symbole perdu que j'avais adoré.

dimanche 21 juillet 2013

Ce weekend j'ai assisté à quelques concerts dans le cadre de la 3ème édition du Festival Fnac Live. Une opération très sympa qui se déroule sur le parvis de l'Hôtel de Ville, en plein air donc, et qui est gratuit, un point non négligeable et qui attire la foule, venu découvrir de nouveaux artistes ou quelques valeurs sûres.

Jeudi j'ai donc commencé avec le concert de Miles Kane, que je connaissais vaguement.
Sur place il y a du monde, les gens dansent vraiment, la musique est entrainante, le public chante avec lui ses titres les plus connus et une fois que les 50 minutes de son show se terminent, on aimerait que ça recommence et on repart avec en tête le petite "Lalala, lalalalala" de sa chanson Don't Forget Who You Are.
Miles Kane se donne vraiment sur scène, il est en forme, en quelques minutes on est accro à lui et chose très appréciable, sa voix est la même que sur son album. Un véritable artiste à suivre et qui sera en concert à l'Olympia.

Vendredi, encore une petite soirée avec d'abord la découverte Raphael Gualazzi. Un italien, posé à son piano pour nous offrir des airs de jazz, du blues, avec de charmantes choristes, on change complétement de monde avec cette programmation. On est bien, sa swingue, on se laisse emporter et le chanteur aussi, à tel point qu'un membre du staff du Festival est obligé de venir l'arrêter alors qu'il voulait faire une dernière chanson. Quel dommage, le public n'était pas contre mais il fallait laisser la place à l'artiste de ce weekend, le plus attendu, j'ai nommé mister Keziah Jones.
Est-il bien nécessaire de le présenter ? Vu la foule qui est arrivée en masse pendant la pause, si on avait des doutes sur son succès, ils n'ont plus lieu d'être. Le public est là pour lui, il arrive en toute décontraction, avec un sourire, ses lunettes sur les yeux, il effleure à peine sa guitare pour les premières notes et c'est la folie.
Alors qu'on pouvait encore se mouvoir au concert d'avant, cela devient clairement impossible, les gens sont collés les uns aux autres et ce n'est franchement pas agréable. Je n'ai pas pu resté jusqu'au bout d'ailleurs.


Samedi c'était la grosse journée et pour cause ! J'ai eu l'énorme chance de gagner un pass VIP au concours organisé par Paris Jeunes, alors autant dire que j'en ai profité au maximum et que je n'ai rien loupé, ou presque.
Ma journée a commencé à 18h avec le concert de Mesparrow au salon des Aracades. Deux mois après l'avoir vu au Café de la Danse (voir article), je ne pouvais pas passer à côté d'elle et je ne regrette vraiment pas d'avoir retiré mes places à temps (oui car il fallait des invitations - gratuites - à retirer à la Fnac).
La salle est la même que pour la conférence de presse de Paris Cinéma, une petite salle, plus intimiste, qui permet de voir l'artiste de plus près pendant 30 minutes. Performance toujours aussi magique, des frissons, toujours autant conquise et qu'une envie, la revoir une nouvelle fois !

Une fois le concert terminé, direction l'accueil des invités pour retirer le petit bracelet qui donne accès à la cour de l'Hôtel de ville où nous attende des fauteuils, des stands de boissons, de petits gâteaux et même de glaces ! Malgré la chaleur, pas le temps pour une glace, juste le temps de se rafraichir avec un "Paris Go Cola" (du Coca quoi) et puis on rejoint la petite foule qui arrive doucement pour voir l'étrange Christine and the Queens... Seule sur scène, aucun musicien, juste la fameuse boite magique qu'utilise Mesparrow, elle danse, jette des paillettes dès le début (perso cela aurait été mieux sur la fin...) tente quelques blagues, d'acquérir le public à sa cause, avant de nous présenter enfin les fameux Queens, ses 4 danseurs. L'idée est là, la musique pas mauvaise mais le personnage est assez insupportable.

Heureusement l'artiste suivante va faire boum dans notre coeur et nos oreilles. Il s'agit de Rokia Traoré. On ne la connaissait pas avant mais maintenant on ne va pas lâcher celle qui, après un petit check sur Google, a remporté un Prix une Victoire de la musique en 2009 dans la catégorie musique du monde.
Voix chaude, bonne énergie qu'elle communique avec le public, sans prise de tête elle se déhanche pieds nus, on ne voit pas le temps passer et on aurait tellement en avoir plus. On s'est nourrit de sa musique, de son sourire. Un très beau moment en ce samedi après-midi où la chaleur était de la partie.


Après une petite pause, place au groupe français Concrete Knives. Entrainant, le groupe se donne sur les chansons mais lorsqu'il s'agit d'interragir avec le public, c'est assez mou. Le chanteur blond, avec sa casquette rouge vissée sur la tête, articule mal et la seule fille du groupe reste muette, ne sourit pas vraiment, elle ose à peine un petit "merci", reste assez passive et attendant seulement de chanter et de se déhancher. On ne lui en tiendra pas vraiment rigueur, le travail sur scène étant bon, les chansons très bien, l'ambiance festive et notre fille va même se lancer sur la fin vers la foule, serrant les mains, chantant dans les yeux d'un petit chanceux, avant de plonger pour un petit bain de foule, vite arrêté par la sécurité. Mais elle reste devant et assure le spectacle.
Je suivrais une partie du dernier groupe de la soirée, Lilly Wood and the Prick dans l'espace invités, mes pieds réclamant une pause. Les dernières chansons, ça sera à l'extérieur, dans la fraicheur qui fait clairement du bien après un soleil de plomb qui a tapé toute la journée. Les artistes ont eu beaucoup de mérite de chanter dans ces conditions, avec les spots de lumière, les tenues, le maquillage.


La soirée se termine, c'est l'heure de rentrer et de dire au revoir au Festival Fnac Live (eh oui pas de concert pour moi ce dimanche...) que j'espère retrouver l'année prochaine ! Le bilan de cette première année au Fnac Live est bon, vivement la prochaine programmation qui, j'espère, sera aussi riche.

Crédits photos : @cecile_fd